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MARYNO – CM & Journaliste beauté

Avant j’avais … une couleur indéfinie, un mélange malheureux de colorations diverses et variées parfois réalisées par des pros, parfois par mes soins, les risques du métier de beauty editor en quelque sorte. Il y a quelques mois, j’ai fini par faire une colo maison foncée pour retrouver une certaine homogénéité mais je trouvais la couleur terne et trop sombre par rapport à ma carnation très pâle.

Après je suis … ravie ! En fait, j’aime me voir comme une kamikaze de la colo parce que j’ai tout testé: du noir charbon au blond doré en passant par le roux carotte et ce légendaire auburn version “framboise écrasée” qui a fortement marqué – voire traumatisé – les rétines de mes collègues. Je n’ai pas froid aux yeux mais la vérité c’est que mon teint porcelaine ne m’autorise pas autant de folies capillaires que je le voudrais. Conclusion: je ne suis jamais autant à mon avantage qu’avec une couleur châtain et des reflets chauds. Les compliments et les regards de mon entourage ne trompent pas. Mon teint est plus lumineux, j’ai meilleure mine. Cette couleur apporte de la douceur à mes traits plutôt anguleux. Bref, moi en mieux !

Les étapes de mon relooking. Après discussion sur mes envies, mes habitudes beauté, etc. L’équipe me propose un léger balayage sur les longueurs pour ensuite appliquer une coloration végétale qui va apporter de la brillance et des reflets chauds à l’ensemble de la chevelure. Et pour finir, une légère coupe plus stylisée pour gagner en naturel et en légèreté.

Désormais je me sens … plus en confiance. Je sais que ma couleur est homogène, naturelle et qu’elle me met en valeur. Idem pour la coupe. Au final, je me prends moins la tête le matin pour savoir ce que je veux faire de mes cheveux. Ils tombent bien, attachés ou non.

L’AVANT/APRES. Plutôt impressionnant, non ? Pour le coup, j’ai vraiment joué le jeu. Je suis arrivée au salon avec zéro make-up, le cheveu un peu gras et en bataille, les yeux rougis et cernés par le manque de sommeil et un réveil aux aurores. Après tout on était déjà mardi et moi, à partir de lundi après-midi je commence à faiblir…