Trop de gras ? Déstockez !
Les signes qui ne trompent pas ?
Les capitons de la cellulite graisseuse se situent principalement au niveau du ventre, des fesses et des cuisses. Ils ne font pas mal au toucher.
C’est dû à quoi ?
Une mauvaise alimentation, trop riche en sucre notamment, associée à un manque d’activité physique.
Le programme idéal ?
> Un massage antigras. Pour déloger la graisse, les toxines et remodeler les contours, le palper-rouler est champion. Il doit être fait en douceur pour ne pas perturber les circulations sanguines et lymphatiques, ni malmener les fibres de la peau. Une cure de dix séances est généralement nécessaire, mais on peut déjà voir une amélioration après deux séances. Un lipomassage avec le célébrissime Cellu M6 est sans conteste une référence en la matière, surtout sur les zones particulièrement rebelles, comme la culotte de cheval, les cuisses et les fesses (adresses des instituts sur www.lpgbenelux.com) mais aussi :
* le Soin Sculpt Zone de Phytomer (www.phytomer.com) : un protocole ciblé sur le ventre, les hanches et la taille qui comprend un enveloppement autochauffant associé à un actif lipolytique pour accélérer l’élimination des graisses et un modelage qui favorise le drainage.
* le Soin Technispa Minceur anticellulite de Mary Corh (www.marycohr.com) : un soin que l’esthéticienne effectue avec une machine qui, tout à la fois, mobilise les graisses en excès, booste la pénétration du soin aux propriétés amincissantes et chauffe la peau pour favoriser la fluidification des graisses et le drainage qui les élimine.
* le massage aux ventouses de Catherine Le Maux (0495 44 45 07) : une stimulation manuelle des points d’acupression correspondant aux organes d’élimination, suivi d’un travail avec des ventouses chinoises en verre qui, une fois chauffées et posées sur les zones à traiter, aspirent la peau et décollent les cellules graisseuses, libérant les graisses dans la microcirculation pour une élimination naturelle.
> Des aliments déstockants. Céréales complètes (de préférence bio), huiles végétales (noix ou colza), viandes maigres, poissons et beaucoup de légumes, voilà ce qu’il faut mettre dans l’assiette pour remodeler sa silhouette. À fuir, en revanche, les aliments qui sont source de stockage, comme les céréales et les sucres raffinés, ainsi que les graisses saturées de la viande, du beurre et des fromages.
> Des compléments kill graisse. Le chrome en gélules (en pharmacie et parapharmcie) fait des miracles en agissant sur l’insuline pour réguler le métabolisme des glucides, qui se transforment en graisse à la moindre perturbation. En manquer provoque d’ailleurs des fringales de sucre quasi incontrôlables. On peut aussi faire une cure de Reductin, un complément alimentaire qui limite l’oxydation de la graisse et accélère la combustion des corps gras tout en réduisant l’inflammation et en drainant les toxines (25,50 € en pharmacie et parapharmacie).
> Le programme sportif. Il répond à un double objectif : brûler et se tonifier pour augmenter sa masse musculaire, et donc sa dépense énergétique de base. Pas de demi-mesure, il va falloir bouger ! On programme des séances de cardio, running, elliptique, boxe ou cycling, qu’on associe à un travail de gainage, avec du pilates ou du stretching en salle. Prévoir une séance de chaque au minimum par semaine.
> La solution cosméto. Optez pour un soin qui lutte contre la cellulite, mais aussi contre les radicaux libres car leur présence explose sous l’effet d’une consommation excessive de sucre, et le souci, c’est qu’ils engendrent toujours plus de cellulite. Quant, en plus, leur texture est généreuse, elle invite au massage, ce qui est tout indiqué pour un pétrissage en règle du bourrelet localisé !
Choisissez des soins à la texture généreuse et massez longuement les zones où la graisse s’est installée.
Notre shopping >>>
Quoi de neuf du côté de la recherche ?
De plus en plus d’études montrent que le tissu adipeux du bas du corps (cuisses, fesses) protège des maladies cardiovasculaires. À l’inverse du tissu adipeux abdominal qui, lui, est un facteur de risque. Donc, lisser la peau d’orange, oui, mais pas éliminer tout son gras ! On pensait que ce tissu était totalement dépendant de la génétique. Or, il semblerait qu’il soit surtout fortement influencé par notre environnement (style de vie, pollution…). D’ailleurs, s’il n’y a pas encore eu d’étude scientifique pour le confirmer, les chercheurs observent que le corps des adolescentes change : elles ont plus de ventre et moins de fesses. La cellulite les concerne moins, mais, pour la santé, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle…