6. Fight Club (1999)

Elle fait des poiriers à la rédac’, est médaille de platine de lutte gréco-romaine dans la catégorie poids plume et non, elle n’a pas choisi Dirty Dancing (qui de toute façon est sorti en 1987), c’est Juliette Debruxelles notre journaliste culture et sport: “C’était une des premières fois où Brad Pitt sortait de ses rôles à minettes. C’était dingue. Le moment où Norton pète la gueule de son boss. Et puis le morceau Where is my mind des Pixies dans la scène finale. Juste jouissif.”

Le pitch pour celles qui étaient trop occupées à écouter les petites voix dans leur tête:

Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d’autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C’est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l’échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d’anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l’amour de son prochain.