Parfait pour passer du bon temps sous la couette en hiver... C'est promis, vous n'allez plus quitter votre lit!
Elles sont sorties cet automne et elles cartonnent. On rattrape son retard, coincée entre une pile de coussins fluffy et un chocolat chaud décadent. Enfilez votre tenue la plus confo, il y en a pour tous les goûts!
This is us
Fan de «Love Actually»? Vous allez être servis! Autrement dit, «This is us» envoie du lourd dans la catégorie «série qui dégouline de bons sentiments». C'est Dan Fogelman, le scénariste de «Crazy, Stupid, Love» qui se cache derrière les dialogues. Et on se laisse prendre au jeu dès les premières minutes (spoiler: les fesses de Milo Ventimiglia n'y sont pas pour rien). L'histoire raconte les péripéties d'un couple attachant, Jack et Rebecca, mais aussi de leurs triplés devenus adultes. On alterne donc entre les années 80 et le temps présent. Addictif.
Westworld
Imaginez un parc d'attractions où tout est permis. Plongé dans un décor façon Far West, vous pouvez tuer qui vous voulez et mettre n'importe qui dans votre lit. Tout paraît réel: les hôtes de ce monde magique vous ressemblent comme deux gouttes d'eau, sauf que ce sont des robots. Et quand une mise à jour ne fonctionne pas comme prévu, les clients risquent de fuir en courant... Série testée et approuvée.
The Crown
Vous avez aimé Downton Abbey? Vous allez adorer The Crown. Le biopic retrace le parcours de la Reine Elizabeth II, obligée de monter sur le trône à 25 ans après l'abdication de son oncle et la mort de son père. «Lilibeth» essaie de satisfaire tout le monde (son mari, sa soeur, ses enfants mais aussi la Cour ou encore Winston Churchill) mais ce n'est pas gagné. Si la série est un peu contemplative au début, elle finit par nous surprendre. Attention, binge-watching en vue.
Insecure
Insecure, c'est l'histoire d'Issa, une fille afro-américaine qui doute de pratiquement tout. La série est inspirée d'une chaîne Youtube qui cumule les centaines de milliers de vues, «The Misadventures of Awkward Black Girl». Si on l'aime, c'est parce qu'elle met en scène une héroïne noire qui n'est «ni stéréotypée ni inaccessible» (comme l'explique Slate), elle nous fait rire et elle nous ressemble, tout simplement.
