2. L’avortement sort de son silence
Si l’IVG est encore parfois perçu comme un sujet tabou, les filles osent petit à petit prendre la parole, raconter librement leur avortement, que ce soit en BD ou sur Instagram. Une information nécessaire pour contrer les discours culpabilisants anti-IVG (sur lesquels on tombe rapidement en faisant une petite recherche Google) et faire avancer la dépénalisation totale de l’avortement. Vous pouvez d’ailleurs signer ici un manifeste pour sortir l’IVG du Code pénal. On aime: la Youtubeuse La Castor et la campagne choc «Ceci n’est pas un cintre». Elle rappelle que l’interdiction de l’IVG n’en diminue pas le nombre mais augmente les interruptions de grossesses illégales, et met par conséquent en danger la vie des femmes.