En matière de mode, rien n’est interdit. Tout est question de dosage, et de moment. Quelques pistes pour éviter les fashion faux pas de l’été.
Le slogan féministe
On se lance si :
Si on adhère ! Le célèbre « We should all be feminists » de Maria Grazia Chiuri chez Dior qui est sorti en juillet a déjà séduit Rihanna (qui en connaît un rayon sur la défense de la dignité des femmes, comme on le sait). Pour se l’offrir, « We should also all be quite rich », parce que ce luxueux manifeste coûte 550€. Chez Pimkie, avec la même verve militante mais pour un budget plus « féministe-au-sens-pour-tout-le-monde », on peut revendiquer « Fight Like A Girl », pour quelques euros, et désormais en soldes. Que l’on opte pour l’un ou pour l’autre, la liberté n’a pas de prix.
(Dior)
On oublie si :
Si on a décidé de résister à la déferlante des vêtements à message (or la rebélion, pour le coup c’est hyper féministe), ou si on rêve d’être l’épouse au foyer dépendante financièrement d’un homme infidèle, « parce que les mecs, ils ont besoin de séduire, c’est normal ». Ou plus concrètement, si on est incorruptible à la tendance (auquel cas on arbore « Punk is Not Dead » dans le dos, écrit en gras sur un tee-shirt made in Bangladesh, qu’est-ce qu’on est à contre-courant!)
(Pimkie)