Son sourire et son énergie se communiquent dans les bijoux qu’elle imagine. La créatrice Shourouk nous a mises à ses pieds.
.. Ou c’est plutôt nous qui la mettons à nos pieds
puisque Sarenza a eu la bonne idée de faire appel à cette talentueuse créatrice française pour lancer une collection de clips de chaussures. Quand le faste clinquant reprend ses lettres de noblesse, on arrive en courant.
Mais d’où lui vient cet amour du strass ?
… Il faut que ça brille
« Mon univers bling-bling est né de deux histoires. La première est liée à mes racines orientales. Je passais toutes mes vacances en Tunisie. Ma maman, mes tantes et ma grand-mère adoraient les bijoux. C’était une surenchère de diamants, de robes à paillettes, de chaussures Chanel. À l’époque, j’étais très renfermée. Je n’étais pas très jolie, un peu ronde. Je trouvais ma mère magnifique et je rêvais de lui ressembler alors je me suis réinventé un univers glamour. La deuxième histoire, c’est la télé. Ma mère regardait Dynasty et Dallas, j’ai donc grandi avec ça. C’était une époque faite d’opulence et d’ostentation. Tout s’est mélangé dans mon esprit et j’en ai fait quelque chose de glamour avec une touche d’ironie : je porte ma rivière de strass sur un T-shirt pour aller au supermarché ! »
… Bijoux aux pieds
Pourquoi avoir imaginé une collection de clips pour chaussures ? « Nous avons toutes des rythmes de vie très soutenus. C’est toujours la course. Quand on va à un dîner, les filles sont en baskets. Elles n’ont pas eu le temps de se changer à la sortie de leur réunion. C’est magique : en un clip, on peut glamouriser sa tenue. On passe d’un style casual à un look Ava Gardner ! » C’est bien ce que nous inspire cette collection : le retour du faste hollywoodien, en toute décomplexion.
Disponible fin novembre sur www.sarenza.com
