Il y a 3 ans, Sam Ruben alors âgé de 18 ans a fondé “Wild Shot Production”, dont le motto est “It’s our task to realize your project”. Cette société de création audiovisuelle, basée à Bruxelles, produit des films de haute qualité. Pour vous, nous avons interviewé celui à l’origine de ce projet.
Présente toi en quelques mots…
Je m’appelle Sam Ruben, j’ai 21 ans. Je suis dans la réalisation depuis maintenant 3 ans. J’ai ouvert une société de production audiovisuelle « Wild Shot Production » qui produit des clips musicaux, des pubs, des documentaires, et tout autres types de production audiovisuelle.
Quel type de réalisations fais-tu ?
Je réalise surtout des clips musicaux et des publicités, c’est là que je peux vraiment exprimer ma créativité et où je suis le plus souvent libre de proposer mes idées et de faire la mise en scène de A à Z.
Quelles sont tes influences, tes inspirations ?
Je m’inspire surtout de ce qui se fait sur le continent américain. Mes goûts sont très éclectiques, je regarde beaucoup de clips de tous les genres. J’adore ce que fait Zac Facts pour Tory Lanez, ou Colin Tilley et Dave Mayers. Je les trouve tous très audacieux, ils ne se soucient pas des dogmes et normes habituelles.
Quelle réalisation t’a le plus marqué ?
J’ai adoré le film « The Danish Girl ». L’image a été travaillée à la perfection et je trouve que l’ambiance des années 1900 a été retranscrite de manière très juste. C’est vraiment ce que je cherche à faire dans mes propres réalisations : un travail sur la composition et la lumière de manière approfondie.
Et puis, il y a les clips en général. Aujourd’hui, ceux-ci deviennent des courts métrages, des petites histoires à eux seuls, comme les scopitones des années 1960. Je pense à False Alarm de The Weeknd réalisé par Ilya Naishuller, par exemple.
Dirais-tu que la vidéo est devenue indispensable aux réseaux sociaux ?
Oui, c’est vraiment important, la vidéo permet de mettre en avant un produit ou de mettre en valeur un artiste. Une mauvaise musique peut paraître bonne avec un bon clip, et inversement. La vidéo est omniprésente sur les réseaux sociaux, parfois même plus que la photo. Il faut s’en servir, c’est un merveilleux outil de communication et de transmission.
Quels sont tes rêves en tant que vidéaste ?
Mon rêve est de pouvoir m’exporter à l’international, de réaliser des clips/pubs partout dans le monde. De collaborer avec des artistes américains, anglais, etc. Et surtout de pouvoir continuer à vivre de ma passion.
Et tes projets pour 2018 ?
Il y en a beaucoup et ce dès janvier 2018 ; des clips musicaux à l’étranger justement, des publicités aussi. Mais surtout, continuer à me donner à 100% dans mes projets.