Après trois capsules très médiatisées, la question à se poser est: est-ce que Tommy Hilfiger et Gigi Hadid ont encore quelque chose à nous raconter ?
Après New York et la Californie, le roi de la mode streetwear a posé son décor à Milan. Dans les rues, l’événement était incontournable: des affiches étaient placardées partout, des voitures déambulaient aux couleurs de la collection. La campagne nous donnait un petit avant-goût de ce qui nous attendait: voitures, vitesse et combi sexy. Tout un programme.
Tommy Now sur le circuit
Jamais trois sans quatre. Pour cette nouvelle collection, Tommy et Gigi nous emmènent sur un circuit de courses. Belles voitures de sport, stands et changement de roues, boutique pour acheter la collection, l’univers aux couleurs de la marque (bleu – blanc – rouge) était très esthétisant.
Dans un contexte où même le Salon de l’auto a renoncé à engager des filles sexy pour poser devant les voitures, est-ce une bonne idée de nous ressortir l’éternel cliché filles sexy/voiture de sport ? Tommy était-il à côté de la plaque ?
En fait non, bien au contraire. Après quelques minutes d’attente et de déambulation, on comprend rapidement que ce sont les mannequins qui ont pris le volant.
Un défilé punchy et sportif
L’histoire d’une nana bourrée d’énergie avec un style effortless aux vibrations 90’s et plus sportive que jamais, c’est ce qu’ils nous racontent. Et le message séduit.
On découvre une collection très graphique qui reprend certains codes du sport automobile: les gants de courses, les bandes latérales, le motif à damier. Tout est subtilement décliné sur des pièces tantôt streetwear, tantôt très féminines. C’est le mélange parfait de cette collaboration: l’ADN de la marque (telle qu’on l’a adorée dans ses années 90 glorieuses) est garanti par Tommy et la touche résolument sexy, 100% millennials, est apportée par Gigi. L’alchimie fonctionne mieux que jamais !
Et bien sûr, fidèle au concept “See now buy now“, la collection est déjà dispo. C’est la magie du marketing. Voici déjà les pièces sur lesquelles nous allons nous ruer :
