3. Oser le couchsurfing
« Couchsurfer », c’est littéralement « surfer d’un canapé à l’autre ». Cette formule, déjà un peu connue, s’adresse surtout aux baroudeurs qui parcourent le monde les mains dans les poches (vides), en quête d’expériences et d’aventures. C’est l’ancêtre de Airbnb, le rêve d’une poignée d’utopistes qui sont aujourd’hui un immense réseau étendu à travers le monde. Solidarité et hospitalité en sont les mamelles et pour s’y greffer, rien de plus simple : on s’inscrit sur le site www. couchsurfing.org et on s’y connecte via Facebook.
Pourquoi on signe: parce que la formule est gratuite et cool si on n’a pas peur de passer la nuit sur un matelas pneumatique (savoir qu’on n’est pas toujours accueilli dans un Molteni). Et puis, dormir dans le salon, ça crée des liens. Si l’hébergeur est « avenant », il peut vite se transformer en guide.
Là où on fait gaffe: on peut tomber de haut sur un vieux futon pourri mais, d’après les utilisateurs, les bonnes surprises sont plus nombreuses que les bad trips.