6. Son côté bisounours :

On l’appelle souvent les dernier créateur «rebelle», «l’enfant terrible de la mode américaine», mais Jeremy Scott est une des personnes les plus gentille et les plus douces du métier. On a vérifié, on l’a rencontré. Cet homme aime les gens, tous, même et surtout les gens différents. C’est d’ailleurs pour ça qu’il préfère être le créateur du « peuple » et que la critique l’importe peu. « Bien sûr c’est agréable de recevoir des compliments des journalistes, d’être encensé dans les magazines, mais au final ce qui compte c’est que les gens portent mes vêtements et se sentent bien dedans », conclut-il.