Que vous soyez déjà adepte du vélo tradi, ou pas, on vous dit pourquoi vous allez vite sauter le pas. Rencontre avec les fondateurs d’Ahooga, une marque de deux roues made in Belgium dont il faut retenir le nom.
1. On se fait lentement mais sûrement un corps de bombe. Vous pensiez que c’était un vélo de lazy girl ? Faux. Le vélo électrique, ce n’est un pas un scooter, il faut quand même pédaler. Il nous permet de contrôler notre poids mais aussi de fortifier les muscles du cœur, d’augmenter notre capacité respiratoire et artérielle. Tout bon.
2. On fait du bien à la planète. Pas de doutes à avoir, le vélo électrique, c’est green. Il ne rejette pas de particules fines ni de gaz à effet de serre. Et il émet 80 fois moins de CO2 qu’une voiture.
3. On se déplace beaucoup plus souvent à vélo. La distance, les pentes ou encore les sacs trop chargés ne sont plus un problème alors on n’hésite plus à lâcher sa voiture. On sort son vélo électrique au quotidien, même pour les trajets maison-boulot, et on respire… Parfait pour évacuer le stress et se prendre un bon shoot d’endorphines, les hormones du plaisir !
4. On arrive nickel. Contrairement au vélo tradi, on peut se rendre à un rendez-vous pro sans dégouliner/devoir changer d’outfit/finir son déo.
5. On bénéficie de tous les avantages du vélo classique. Logique. On va beaucoup plus vite en ville, on évite les embouteillages, l’attente du bus, les problèmes de parking et on se sent incroyablement libre.
Et on prend lequel ?
Nos préférés, ce sont ceux de la marque Ahooga, une société primée fondée en 2015 par deux Bruxellois. Après une petite crise de la quarantaine, Philippe Lefrancq et Frédéric Mertens décident de tout plaquer pour lancer leur boîte de vélos électriques. Pourquoi on les aime ? Parce qu’ils sont canon, mais surtout ultra légers (13 kg contre 25 pour d’autres modèles) et pliables (on peut donc prendre le tram avec ou le rentrer chez soi et éviter le vol).
On choisit d’activer l’assistance électrique, ou non, et la performance n’a pas été oubliée : le cadre est sans charnière, durable, rigide et dynamique. Et le nom Ahooga ? « Il vient d’une onomatopée. C’est le son du klaxon de certaines voitures dans les années 20. Il a été adopté par l’industrie du film pour symboliser l’étonnement ou l’excitation », raconte Philippe. Ce qu’on apprécie aussi, c’est le côté très local des deux entrepreneurs. « Nos cadres sont conçus en Belgique, c’est là qu’on achète l’aluminium et qu’on réalise 30% de l’assemblage de nos vélos. Le reste de la production se fait avec une famille belge localisée en Europe de l’Est. On adore l’idée d’une empreinte écologique réduite et d’une économie locale dynamisée ».
Le petit plus ? Les vélos Ahooga sont personnalisables et disponibles en 215 coloris, avec une finition matte ou brillante. « En proposant autant de couleurs, on veut mettre de la joie dans les rues », ajoute Philippe. « On est convaincu que le secret des villes heureuses réside dans des déplacements agréables». Bike baby, bike !
Infos pratiques: Vélo pliant musculaire disponible à partir de 1269 euros, la version hybride (électrique) à partir de 2099 euros. Plus d’infos sur le site d’Ahooga.
Cet article a été réalisé en étroite collaboration avec Ahooga.
www.ahooga.be