SALVATORE ADAMO, “Oui la mer… a versé tant d’amour dans le creux de ses vagues le temps d’un été” (1970)
“Tu t’en vas ma pauvre amourette / Tu t’en vas, ne s’aimait-on pas ? / Mais l’été en partant a laissé sur le sable mouillé / Tant de rêves oubliés”