“Tous les hommes désirent naturellement savoir” de Nina Bouraoui (JC Lattès)
“J’écris les chemins que l’on évite et ceux que l’on a oubliés. J’écris parce que ma mère tenait ses livres contre sa poitrine comme s’ils avaient été ses enfants.” (quatrième de couverture ) : tout est dit. Sauf que nous aussi on désire connaître la vie et l’enfance franco-algérienne de Nina. Alors on lit.