C’est le rendez-vous incontournable de celles et ceux qui préfèrent rire pour le passage à la nouvelle année plutôt que soupirer…

Un récap’ des événements de l’année, qu’il s’agisse de grands événements ou de potins de quartier, joués par des chanteurs/chanteuses, danseurs/danseuses, imitateurs/imitatrices et acteurs/actrices qui ont un point commun : l’envie de s’amuser. Deux heures pendant lesquelles se mêlent cabaret, music-hall, belgitude et textes relevés.

« L’exercice de la Revue est périlleux. C’est un équilibre très complexe à réaliser. Il est donc difficile de choisir un seul élément. Les premiers qui me viennent à l’esprit sont : rythme, efficacité, rire et beauté. », explique David Michels, directeur. « J’ai été la première femme à écrire des textes pour la Revue et j’espère apporter une touche un peu féminine au spectacle. C’est une consécration et un honneur ! », ajoute Angélique Leleux, auteure et comédienne.

Mais La Revue, c’est aussi de la danse : « Les frontières entre les différents genres de danse sont de moins en moins nettes, car tous les styles s’influencent du fait de la multidisciplinarité demandée aujourd’hui aux danseurs. Dans cette revue il y a du jazz, du contemporain, du music-hall ; du hip-hop, un soupçon de ballet, une pincée de rock et j’en oublie sans doute ! Ce qui est intéressant, dans la Revue, c’est aussi l’aspect tour de Babel. Nous parlons des langages différents (danse, chant, jeu, vidéo) mais nous apprenons à nous comprendre pendant les répétitions afin d’arriver à nous compléter sur scène. », indique Kylian Campbell, chorégraphe.