Médor, le magazine d'investigation, se lance un challenge: refléter au mieux la société à travers ses articles et au sein de ses équipes. Petit coup d'oeil sur les différentes actions qui mettent en lumière la diversité.
Quatre raisons d'applaudir leur initiative:
Médor s’analyse
La rédaction a décidé de passer au scanner ses articles. Le but ? Dresser des statistiques afin d'observer la représentation de la diversité au sein du magazine. Comment ? En regardant l'origine, la qualité et le genre des intervenants dans les publications. Une étude menée par Médor sur le contenu du numéro 14 a notamment montré que les articles étaient majoritairement écrits par des hommes à l'exception de ceux faisant partie de la catégorie “société".
Médor voyage
Premier arrêt ? La Louvière. En effet, la rédaction va entreprendre un tour en Wallonie cet automne afin d'interagir avec le public. Le but ? Elargir les horizons du magazine en récoltant des informations et en échangeant des idées avec la population dans chaque endroit. Après La Louvière, la team Médor déménagera à Lasne, située dans le Brabant wallon. Les deux prochaines étapes de la rédaction seront dévoilées très prochainement.
Médor agit
Les équipes du magazine élaborent un plan d'action axé sur la diversité qui touchera toutes les strates de Médor, de la coopérative au CA. Dès septembre, une rubrique spéciale dédiée à la diversité sera disponible sur la nouvelle plateforme web du trimestriel.
Médor cherche des collaborateurs
La rédaction souhaite rencontrer des journalistes aux profils variés. Comment ? En lançant un appel à candidature afin de remporter une bourse de 4 000 euros ainsi qu'un accompagnement pour réaliser un projet d'enquête en lien avec la Belgique qui sera publié dans le magazine. Pour plus d'infos sur le concept et les critères de participation, il suffit de se rendre sur le site. Deadline pour participer: le 15 octobre 2019 à minuit.
Envie d'en savoir plus ? Les détails des différentes actions sont à retrouver dans le prochain numéro de Médor, disponible à partir du 7 juin.
Esther Gerard (stagiaire)