Parmi les centaines de cadeaux de naissances que le couple princier a reçu à l'occasion de la naissance du petit George, Kate et William ont craqué pour une barboteuse Les Petites Abeilles, une marque belge presque aussi jeune que l'héritier royal.
La créatrice de la marque, Désirée Hohenlohe a lancé sa ligne pendant sa grossesse. Allemande et Liechtensteinoise, elle a grandi en France et en Afrique. C'est son job dans des institutions internationales qui l'a menée à Bruxelles, et sa nouvelle situation de maman qui l'a guidée vers la mode. A 33 ans, parce qu'elle aimait le coton nid d'abeille et qu'avec son époux, ils avaient reçu une ruche pour leur mariage, cette apprentie apicultrice à ses rares heures perdues a choisi d'appeler sa marque Les Petites Abeilles. Le site, encore en construction, sera actif fin mai.
Le style des Petites Abeilles, coupes classiques et robes à smocks brodées main à Madagascar selon une technique britannique importée là-bas, retourne donc en Angleterre via la Belgique.
A l'annonce de la naissance du petit prince, Désirée Hohenlohe souhaitait lui faire parvenir un modèle de sa collection. Ayant entendu qu'aucun cadeau commercial n'était accepté par la Cour, elle a envoyé sa barboteuse comme un simple présent, avec une jolie carte. Persuadée que la pièce finirait sur un autre bébé, ou au placard. Mais.
Quelques mois plus tard, en regardant les infos, elle aperçoit le bébé royal portant son vêtement. Elle reçoit rapidement une carte de remerciement des parents, et découvre dans le Daily Mail, un tabloïd, que la grenouillère est attribuée à autre autre marque, anglaise. Une erreur que le journal a corrigée depuis, mais qui servira cette enseigne, puisque ses vêtements pour bébé se trouvent en rupture de stock immédiatement.
Il fallait donc rendre à César ce qui est à George : la barboteuse à petits bateaux smockée, elle est belge. Voilà.
La marque est si récente, qu'elle n'est disponible à ce jour qu'en ventes privées, annoncées sur sa page Facebook. La prochaine édition aura lieu le 24 mai.
La création belge finit toujours par triompher.