Direction le Sud, le soleil, le chant des cigales, ses parfums authentiques, ses routes sinueuses, ses villas de stars et ses vignobles à perte de vue. Des terres ancestrales que, depuis cinq générations, les vignerons de la famille Perrin s’emploient à cultiver pour en extraire de nobles nectars. Ici, la nature est reine. Sereine, elle dicte le tempo. Le sien, jamais celui de l’Humain. Portée par cette exigence de la respecter, la famille Perrin s’est associée à Brad Pitt, propriétaire du Château de Miraval, ainsi qu’à deux scientifiques de réputation mondiale afin de lancer un projet ambitieux : Le Domaine Skincare.
Plus qu’une marque de cosmétiques, Le Domaine prône le bien-vivre. Sa raison d’être est portée par une vision simple : l’évidence de revenir à l’essentiel, à la nature. L’objectif de ses fondateurs est d’unir la science et le terroir, l’efficacité et la naturalité dans un souci de transparence, de simplicité et de sensorialité.
Une rencontre humaine et scientifique
Le Domaine, c’est également une aventure humaine, ponctuée de rencontres. En 2012, Brad Pitt souhaite découvrir les trésors de la vigne. Avec la famille Perrin, il relance alors le Domaine de Miraval, en cultive le vignoble et tisse de véritables liens d’amitié. Animés par le même désir de préserver la terre et son écosystème, ils se retrouvent naturellement autour du Domaine Skincare et son approche singulière de la cosmétique.
Cette nouvelle gamme prend également ses racines dans les recherches de deux éminents professeurs. Spécialiste du vin et de la santé, le professeur Pierre-Louis Teissedre analyse depuis plus de 10 ans les 13 types de cépages de Beaucastel. Parce que selon lui, « l’oenologie et la cosmétique sont des sciences précises ». Dans son laboratoire de l’Université de Bordeaux, il identifie ceux qui, combinés, offriront le plus puissant pouvoir antioxydant. Il a ainsi mis au point en exclusivité le GSM10®, un actif conçu à partir de marcs de raisin upcyclés de la famille Perrin.
Quant au professeur Nicolas Lévy, il est actuellement directeur scientifique Maladies Rares dans un grand groupe de l’industrie pharmaceutique. Depuis près de 20 ans, il mène des recherches sur la progéria, une maladie génétique extrêmement rare qui provoque l’accélération ultrarapide du vieillissement des enfants. Ses travaux lui ont permis d’identifier les mécanismes qui sont aussi à l’œuvre, progressivement, lors du vieillissement naturel de la peau. Cofondateur d’une start-up médicale ayant vocation à créer des traitements dans le domaine du vieillissement, il a l’idée de décliner certaines de ses molécules à travers le prisme de la cosmétique.
Ainsi est né le ProGr3®. À base de resvératrol tiré de sarments de vigne, d’apigénine issue d’un extrait de camomille et de catéchine extraite du thé vert, le ProGR3® réduit la toxicité de la progérine, la protéine marqueur du vieillissement. Pour lui, pas de fausses promesses : « Lutter contre le vieillissement revient presque à considérer celui-ci comme une maladie. Pourtant, ce n’est pas une maladie, mais un processus naturel qui induit une fragilité naturelle et organique, et c’est d’ailleurs comme cela que le définit l’OMS. L’idée, pour moi, n’est pas de créer un élixir de jouvence et d’augmenter la durée de vie de chacun·e. L’idée est de vieillir en bonne santé, en atténuant au maximum les effets délétères du vieillissement. »
C’est donc la combinaison de ces actifs clés que l’on retrouve dans la ligne de soins Le Domaine. Tous deux brevetés, ils ont donné naissance à une vision unique : plus qu’une ligne de soins anti-âge, Le Domaine veut faire en sorte de ralentir le processus de vieillissement de la peau et offrir à tou·te·s, sans distinction de genre ou de peau, la possibilité de bien vieillir.
Ne rien jeter, tout transformer
Rappelant la volonté de la famille Perrin de produire des vins biodynamiques, seuls des ingrédients d’origine naturelle composent les formules de sa gamme avec une volonté forte de transparence et de traçabilité. Chaque fois que cela est possible, les composants proviennent directement des vignobles de Beaucastel ou encore, pour l’huile d’olive bio, produite sur les terres de Miraval.
Outre les composants naturels du ProGR3®, une sélection d’ingrédients issus de la science ou de la nature, tous choisis pour leur efficacité, leur complémentarité ou leur usage traditionnel, a été assemblée au sein de la gamme : des cellules mères de deux souches de fleur de vigne, des acides hyaluroniques de différents poids moléculaires, de la niacinamide, mais encore du beurre de karité ou de la chirette verte, une plante ayurvédique.
Appuyant sa volonté de naturalité, Le Domaine va au-delà des interdictions et recommandations en vigueur et a établi une liste d’ingrédients exclus de ses formules : silicones, parabènes, phénoxyéthanol, triclosan, chlorphénésine, BHA et BHT, perturbateurs endocriniens, microplastiques, huiles minérales et synthétiques, ingrédients d’origine animale, phtalates, etc. Véganes et avec un minimum de 96 % d’ingrédients d’origine naturelle, les formules sont travaillées comme des grands crus.
Une gamme restreinte et universelle
Le processus de vieillissement touche chacun d’entre nous. Cette évidence donne au Domaine son universalité. Résolument non genrés, ses soins s’adressent à tou·te·s, sont conçus pour toutes les peaux, tous les phénotypes, quelles que soient leurs caractéristiques. La peau étant un capital à entretenir, les soins Le Domaine sont, par leur effet préventif sur l’action de la progérine responsable du vieillissement de l’épiderme, également dédiés à tous les âges. La ligne est volontairement restreinte, ne proposant aujourd’hui que quatre soins : un nettoyant, un sérum, un fluide et une crème hydratante. Tous les produits sont rechargeables – à l’exception de l’Émulsion Nettoyante – et presque entièrement recyclables. Définitivement dans l’air du temps.
The Serum, 350 €, The cleansing emulsion, 70 €, The Fluid cream, 265 €, The Cream, 275 €, recharges à partir de 220 €.
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