On a testé : partir en Cappadoce pour fêter les 50 ans de la Golf

Mis à jour le 25 octobre 2024 par ELLE Belgique
On a testé : partir en Cappadoce pour fêter les 50 ans de la Golf

Pour célébrer le jubilé de l’une des voitures les plus iconiques de la liberté de s’évader, Volkswagen a proposé au ELLE de s’envoyer en l’air. A bord d’une montgolfière, et dans le désert.

Inusable, indémodable – mais modernisée au cours des années – la Golf, lancée en 1974, a été vendu en 37 millions d’exemplaires (une file de 136.900 km de long si on les mettait bout-à-bout) dans plus de 70 pays, où elle porte depuis un demi-siècles différents noms : la Rabbit en Amérique du Nord, la CitiGolf en Afrique du Sud ou la Gol au Brésil. Mais c’est en Turquie que cette légende automobile a fêté, avec nous, son anniversaire. 

Jour 1 : réveil à 4h30, direction Zaventem pour Kayseri. Le seul moteur un peu froid à ce moment-là, c’est le nôtre. Après quelques péripéties qui font le sel du voyage (turbulences atmosphériques pour nous secouer les idées, suivies d’un orage dans les dunes) – on est saisies par la splendeur des paysages de la Cappadoce, région semi-aride du centre du pays, connue pour ses « cheminées de fées », hautes formations rocheuses coniques.  Dans l’ancien monastère troglodyte transformé en hôtel qui nous accueille, notre pression retombe mais celle de l’air va momentanément bloquer les montgolfières au sol. Ce sera pour nous aussi l’occasion de garder les idées bien sur terre et de tester différents modèles de Golf, dont le nom, pour la petite histoire dans la grande, vient du Gulf Stream.

Jour 2 : Le ciel est dégagé, nous partons au volant de la toute nouvelle Golf à l’assaut des petites rues étroites de la ville, mais la facilité de conduite de la voiture rend l’expérience fluide et agréable. Nous visitons la région dans des conditions de confort extrêmes, avant de repasser, pour le plaisir et le souvenir, derrière le siège conducteur de la première Golf historique. Il est saisissant – et émouvant - de constater l’évolution qu’a connu ce véhicule iconique en 50 ans. A bord, tout était beaucoup plus fin (les rétroviseurs, le levier de vitesse, le volant qui était d’ailleurs aussi très large, souvenez-vous). Elle nous semble presque délicate mais au final, elle a parfaitement traversé le temps. Le soir, nous admirons le coucher du soleil qui se reflète sur les 8 générations de Golf. On est en bonne compagnie, la femme et la machine, entre copines.

Jour 3 : Nouveau réveil à 4h30, pour un autre décollage : le très attendu baptême en montgolfières. Alignées dans le désert, elles sont immenses, presque organiques tandis qu’on les remplit d’air chaud, comme des créatures fantastiques qui prendraient leur souffle. Nous embarquons à bord d’une grande nacelle. La montée est douce, et la sensation de vertige vite balayée par le spectacle envoûtant qui s’ouvre à ciel ouvert : une centaine de montgolfières se balancent de manière presque imperceptible autour de nous sur fond de soleil levant. Le vol dure 1h20, un battement de cil, qui laissera en nous une empreinte onirique, presque irréelle. L’atterrissage se fait d’autant plus en douceur que différents modèles de Golfs nous attendent encore, sportives et citadines, pour un autre voyage en mécanique, fantastique. 

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