L’iconique adresse Dior du 30 avenue Montaigne célèbre trois ans de renaissance avec une collaboration artistique inédite

Trois ans déjà que la Maison Dior a rouvert les portes de son adresse mythique du 30 avenue Montaigne, totalement réinventée. Plus qu’une simple boutique, cet écrin mêlant héritage et modernité est devenu un lieu de destination à part entière, entre salon haute couture, musée, jardin intérieur et café chic. Pour marquer cet anniversaire symbolique, la Maison dévoile une collaboration artistique d’exception : une nouvelle réinterprétation du sac Lady Dior, pensée par l’artiste britannique Penny Slinger.

Lady Dior par Penny Slinger

Presse - Dior © HARRY EELMAN

Lady Dior par Penny Slinger

Presse - Dior © HARRY EELMAN

Lady Dior par Penny Slinger

Presse - Dior © HARRY EELMAN

Lady Dior par Penny Slinger

Presse - Dior © HARRY EELMAN

Lady Dior par Penny Slinger

Presse - Dior © HARRY EELMAN

Lady Dior par Penny Slinger

Presse - Dior © HARRY EELMAN

 

Ce n’est pas la première fois que Dior et Penny Slinger se retrouvent autour d’un projet. En 2019, déjà, Maria Grazia Chiuri lui avait donné carte blanche pour imaginer le décor du défilé haute couture automne-hiver. Résultat : l’hôtel particulier du 30 Montaigne transformé en maison de poupée dorée, à la fois étrange et poétique. Un univers surréaliste, truffé de symboles féminins, qui avait laissé une impression durable.

Cette année, la conversation artistique reprend, mais cette fois à travers cet objet culte. Pour l’occasion, Penny Slinger imagine une version futuriste du sac iconique, habillée d’un cuir argenté aux reflets presque liquides. Un vrai bijou sculptural où l’on devine les lignes du 30 Montaigne, réinterprétées dans des volumes inattendus. Le sac devient œuvre d’art, à mi-chemin entre accessoire de mode et manifeste créatif.

Avec ce nouveau chapitre, Dior reste fidèle à l’esprit de son fondateur — passionné d’art, toujours en quête d’innovation — tout en affirmant sa capacité à se réinventer sans cesse. Ce Lady Dior revisité joue avec les codes, brouille les frontières et prouve qu’un classique peut toujours surprendre.

Lady Dior par Penny Slinger

Presse – Dior © HARRY EELMAN