Dans « Le Bidule de Dieu » (Robert Laffont) le britannique Tom Hickman dévoile l’histoire, la psychologie et
la sociologie du zizi. Morceaux choisis.

1. « Tout homme recourt à son pénis pour penser »

Voilà, c’est officiel. Sophocle disait qu’être l’heureux propriétaire d’une biroute revenait à « être enchaîné à un fou ». La sagesse populaire yiddish, elle, affirme que « quand le sexe se dresse, le cerveau de l’homme rentre sous terre ». Quéquette à l’abordage = cerveau au chômage ? Si, dans son livre extrêmement do-cul-menté, Tom Hickman prétend que chaque garçon est en fait deux personnes (lui et son outil), on pense, nous, que le brillant Briton fait offense au sexe dominant. Toute fille qui a déjà porté une jupe lors d’un apéro en plein air sait que jamais un homme n’est aussi réfléchi et créatif que lorsqu’il s’agit de trouver un emploi à la partie vacante de son anatomie.