2. Quand on en a vu un…penis2

« Ils peuvent être longs, courts, gros, minces, trapus, droits, bulbeux (…), coudés de droite à gauche ou de haut en bas, circoncis ou non, lisses ou aussi fripés qu’un chiot sharpei. » Au cours de l’Histoire, on a paré l’appendice, centre de toutes les attentions (qui a écrit un bouquin entier sur le lobe de l’oreille ? Personne), d’une personnalité propre. Son décryptage, la « phallomancie », permettrait en Inde et au Tibet de « deviner à la fois le caractère et la destinée d’un homme. Les Tibétains estiment qu’il est préjudiciable d’être suréquipé : si le pénis d’un homme atteint ses talons lorsqu’il s’accroupit, sa vie ne sera que chagrin, mais si la longueur de son pénis ne dépasse pas la largeur de six doigts, alors il deviendra riche et bon époux. » Phallo démago.