bokwa

 

Le Bokwa fait le buzz dans les salles de sports. Fun, tonique et surtout très ludique, découvrez ce nouveau concept de fitness.

C’est quoi ?

Un concept de fitness créé à Los Angeles par Paul Mavis, un danseur et musicien d’origine sud-africaine, qui l’a enregistré comme marque déposée : pour devenir instructeur, il faut avoir
suivi une formation au bout de laquelle un certificat est délivré. Rassurant, car on sait ainsi qu’en suivant un cours, on est entre de bonnes mains.

Ca veut dire quoi « Bokwa » ?

C’est la contraction des premières lettres de boxe et de « kwaito », une danse traditionnelle issue des ghettos sud-africains. En pratique, c’est un mélange de danse africaine, de capoeira, de kick-boxing et d’aérobic.

Ca ressemble à quoi, un cours ?

Un échauffement « classique »  d’aérobic d’une dizaine de minutes pour faire monter progressivement le rythme des pulsations cardiaques. On enchaîne avec le cours proprement dit, 30 à 45 minutes  pendant lesquelles on esquisse avec les pieds le contour d’une lettre de l’alphabet ou d’un chiffre : trois pas en avant, on marque deux temps puis trois pas en arrière et voilà un « I ». Facile. Pareil pour le « L » et le « C ».

Quand on a acquis les bases, ça se complique un peu et on arrive au « B » ou au « W » ! Ce qui est très amusant, c’est que plus on devient expérimentée, plus on peut ajouter d’éléments de chorégraphie, avec des déplacements latéraux et des mouvements des bras.

Pas de panique si vous êtes nulle en danse ou en coordination, les cours sont progressifs, accessibles à tous et se font en musique, sur des hits tendance et rythmés, qui donnent tout simplement envie de bouger .

Le Bokwa se veut avant tout accessible à tous. Quel que soit le niveau (il en existe neuf au total), la séance se termine par des exercices d’étirement qui ramènent le rythme cardiaque à une fréquence normale. Selon la taille de la salle, le groupe varie entre 10 et 35 personnes.

C’est bon pour quoi ?

On affine ses jambes avec les mouvements répétitifs et les petits pas énergiques. On tonifie sa silhouette et on brûle pas mal de calories (700 environ au départ et jusqu’à 1 200 quand on atteind les niveaux supérieurs) car c’est aussi un sport très cardio qui permet de fairedisparaître les amas graisseux qui alourdissent la silhouette.

L’effet plus : c’est aussi une très bonne manière de faire la peau au stress et en s’amusant.

On s’habille comment ?

Rien de bien compliqué, juste une tenue souple et confortable : short, jogging ou leggings et t-shirt.

Et comme chaussures ?

Pour épargner les pieds, le mieux est de porter des baskets avec une semelle suffisamment épaisse, comme celles qui conviennent pour le running.

Où pratiquer ?

À Bruxelles, à Liège, à Verviers, à Jemappes… Le Bokwa Fitness envahit la planète et la Belgique n’est pas en reste ! Déjà plus de 7 000 instructeurs certifiés dans le monde, 2 000 en Europe. Il y a forcément une salle qui propose le Bokwa près de chez vous. Pour trouver son adresse, surfez sur

wwww.bokwafitness.com

Ca coûte combien ?

Selon les clubs, compter entre cinq et dix euros la séance.

Ce que les adeptes en disent ? 

_ « J’adore bouger, sauter, danser, mais je n’ai pas envie de me prendre la tête avec des chorégraphies hypercompliquées, ce qui n’est pas le cas du Bokwa. » Sophie, 25 ans

_ « Je suis les cours depuis plusieurs semaines maintenant et, franchement, je vois vraiment la différence : mes jambes sont plus galbées et ma taille beaucoup plus marquée. J’ai aussi plus de souffle et je me sens de bien meilleure humeur. » Pascale, 32 ans

_ « C’est très joyeux ! Chaque cours me met de bonne humeur. Je ne suis pas championne de danse, mais comme les pas sont toujours les mêmes, je suis sans problème. » Chris, 50 ans

Merci à Elise Lenoir, coach Bokwa certifiée au Lady Fitness d’Uccle (www.ladyfitness.be).

Laurence Descamps