4. Nous oublions nos rêves la plupart du temps
La mémoire humaine n’est pas forcément prodigieuse.
À quoi pensiez-vous hier à la même heure, par exemple ?
Si vous ne l’avez pas consignée par écrit ou si elle n’avait rien de notable, il y a fort à parier que cette chose vous ait échappée. Les pensées nocturnes sont encore plus fugaces.
Faute de stimulant rationnel (je dois me souvenir de ceci), elles passent à la trappe. Nous ne nous souvenons de nos rêves que s’ils ont une dimension exceptionnelle, étrange ou émotionnelle et en général, certains s’en rappellent plus que d’autres.