18 raisons d’aimer Matthias Schoenaerts

Mis à jour le 20 février 2018 par Juliette Debruxelles
18 raisons d’aimer Matthias Schoenaerts

[caption id="attachment_84685" align="alignnone" width="600"]b Photo: Filip Van Roe[/caption]

 

Pourquoi 18 ? Parce qu’à la rédaction, c’est l’âge qu’on a, dans nos corps et dans nos têtes, quand on parle de lui…

Il est partout. Incontournable. Omniprésent. Immense et imposant. Fierté nationale exportée, c’est LE gars qui fait l’unanimité.

Voici pourquoi…

1. Il est célibataire depuis avril dernier. Ça change quoi dans nos vies ? Rien. Mais si on ne peut même plus rêver…

2. Il n’est pas cynique : « Je trouve que le métier de comédien a du sens si on peut approfondir le regard sur les rapports humains. Sinon, je ne comprends pas trop ce que je fais. »

3. C’est un acteur. Un vrai. Pour les fantasmes « infirmière vs plombier », il devrait assurer.

4. Il croit en l’amour : « Aujourd’hui, on a besoin d’histoires d’amour, pas au sens sentimental mais au sens d’humanité. La haine, le cynisme, la violence, c’est facile. Je laisse ça aux faibles. »

5. Il a été approché pour l’adaptation cinématographique de « Fifty Shades of Grey ». Ouais…

6. Cette année, il est à l’affiche de cinq films. Donc il n’est pas beaucoup à maison (si, c’est une qualité).

7. Il a une vision claire du succès : « Ça fait peur. Le problème est que tous les films sortent en même temps. Ça me fracasse parce que je trouve que chaque œuvre, chaque performance doit avoir le temps d’exister. C’est comme un peintre qui fait cinq expositions par an. C’est ridicule ! Donc ça me perturbe un peu. Mais je n’y peux rien. Le système veut ça. »

8. En tirant un peu sur la ficelle, son nom, dérivé de « schön » en allemand, veut dire « beau ». What else ?

9. Il fait ce qu’il veut : « Je ne suis pas du genre à analyser mon impulsivité. Je crois à l’instinct, à une émotion qui vient de façon naturelle. »

10. « Il a ce truc inexplicable et inimitable : le magnétisme », dit de lui Marion Cotillard. Pour une fois, on l’écoute.

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Photo: Filip Van Roe

11. Il aborde les propositions avec modestie et raison : « Je sais qu’à 18 ans je n’aurais pas été capable d’assumer ce succès. Donc il arrive au bon moment. Je n’aime pas regarder en arrière et analyser ce qui se passe. Je me laisse porter par les événements. Je considère que le jeu se trouve dans l’abandon : juste avancer, respirer, continuer à bouger. Comme un boxeur sur un ring. Quand il prend un coup, il ne doit pas réfléchir, il doit continuer le combat. C’est exactement ce que je fais. »

12. Sur certains clichés, il a la gueule de Johnny Hallyday (jeune !). La lose ?  Bin non…

13. C’est une montagne. Pour « Rundskop », son premier vrai succès, il confiait à Libé : « Mon idée fixe pour ce rôle était de me fabriquer un corps de Minotaure. Je m’accrochais tout le temps à cette pensée. Ce qui correspond totalement au personnage et à sa folie de se construire cette espèce de carapace de virilité. » La bonne nouvelle : il n’a pas tout perdu… Du coup, nous non plus.

14. Carey Mulli-gan, sa partenaire dans « Loin de la foule déchaînée », le décrit comme « quelqu’un d’à la fois immense, impo-sant et très doux. Il possède cette solidité et cette fiabilité. Et pour autant, quand il pose son regard sur vous, vous avez le sentiment qu’il vous perce à jour. »

15. En 2016, on le verra enfin dans une série américaine : « Lewis and Clark », aux côtés de Casey Affleck.

16. Dans « Maryland », présenté à Cannes et bientôt sur les écrans, il incarne un soldat victime d’un syndrome post-traumatique. Du chagrin et des muscles...

17. En 2013, il est le premier espoir belge à remporter un César. La vague des Belges à Paris, c’est aussi grâce à lui !

18. Ses yeux sont bleus. Pas verts. Pas gris. Bleus. Les deux.

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Photo: Filip Van Roe