Un couple a eu la mauvaise surprise de découvrir que plusieurs de ses photos avaient été copiées par une inconnue… Histoire creepy ou véritable campagne de pub?
Lauren Bullen et Jack Morris ont tout du couple de stars qui fascine et irrite. Ils sont jeunes, beaux, stylés, très amoureux (en apparence tout du moins) et globe-trotteurs. La mise en scène est parfaite: ils s’embrassent sous une cascade à Bali, nagent avec les dauphins à Hawaï et admirent le coucher de soleil à Ibiza. On l’a compris, ils font rêver des millions de personnes… Et leurs followers les suivent parfois d’un peu trop près. Le couple a récemment appris que leurs clichés léchés avaient été reproduits à l’identique par une mystérieuse Instagrameuse, «diana_alexa». Cadrage, vêtements, accessoires, poses, mimiques,… tout est parfaitement copié. Et Photoshop n’y est pour rien. L’inconnue s’est rendue exactement aux mêmes endroits que les amoureux afin de les imiter et de se prendre en photo.
Après avoir été alertée par ses fans, Lauren a décidé de contacter la jeune femme qui la suit. «Je lui ai envoyé un message en lui disant que j’avais découvert sa page et que je trouvais que c’était à la fois dingue et ridicule. Elle a essayé de se justifier en disant que tout le monde nous copie (…) et que je devrais mettre mon compte en mode privé si je ne voulais pas que ça arrive», a-t-elle écrit dans un post, aujourd’hui supprimé, sur son blog. «Diana_alexa» a effacé toutes ses photos mais sur Twitter, on s’interroge: et s’il s’agissait d’un coup de pub ou d’une campagne de sensibilisation façon Louise Delage?
On vous en parlait ici, le compte de cette jolie Parisienne, systématiquement photographiée avec un verre à la main, avait été créé pour nous mettre en garde contre l’alcoolisme. L’histoire de Lauren et Jack montre à quel point il est facile de nous suivre à la trace grâce aux informations que l’on publie sur les réseaux sociaux. Et le stalking n’est pas toujours innocent. Si on doute qu’une agence de comm’ se cache derrière tout ça, on profite tout de même de l’occas’ pour réfléchir au cyber-harcèlement et ajuster nos paramètres de confidentialité…