Extremely Wicked, Shockinly Evil and Vile, le film qui retrace la vie de Ted Bundy sera disponible dès le 3 mai sur Netflix ! Avec Zac Efron en tête d’affiche, ce long-métrage n’a pourtant absolument rien d’une comédie musicale. Alors, prête pour dormir avec la lumière allumée ?
Les poils qui se hérissent, la boule au ventre et les nuits blanches sont votre truc ? Parfait ! Netflix vient tout juste d’ajouter à son catalogue un film qui devrait sans aucun doute augmenter votre tension artérielle. Basée sur la vie de Ted Bundy, le tueur en série le plus connu des États-Unis, ce long-métrage (gentiment intitulé Extremely Wicked, Shockinly Evil and Vile), vous propose de plonger dans l’histoire de cet homme qui a retenu l’attention de tout un pays.
Un film glaçant
Alors que Netflix proposait déjà Ted Bundy : autoportrait d’un tueur, un documentaire en plusieurs parties sur l’affaire Ted Bundy, cette fois-ci, la plateforme s’éloigne un peu de l’aspect purement historique pour nous proposer Extremely Wicked, Shockinly Evil and Vile, une fiction glaçante mais glamourisée sur la vie du tueur en série .
Dans ce long-métrage pourtant toujours réalisé par Joe Berlinger, pas d’images d’archives, de témoignages d’enquêteurs en service ou encore d’appels enregistrés. Ici, on plonge dans la chronique des meurtres selon le point de vue de sa petite amie de longue date, Liz, une mère célibataire qui refusera pendant très longtemps de croire que Ted est coupable.
Mais pourquoi donner une confiance aveugle à un meurtrier malgré les preuves évidentes de sa culpabilité ? C’est justement une des questions principales soulevée par le film. Loin de l’idée que l’on peut se faire des sociopathes, Ted Bundy était en fait un homme mignon, très intelligent et qui charmait les foules en une esquisse de sourire. C’est également ce qui explique qu’il a fallu plus de 10 ans de procès entre son arrestation et son exécution. Encadré par une équipe de 5 avocats, Ted Bundy représentait lui-même sa propre défense et arrivait souvent à faire basculer l’opinion publique de son côté. Et ça, malgré les meurtres sanguinaires qu’il a commis !
Côté casting, Joe Berlinger s’offre des comédiens qui vont en étonner plus d’un, car c’est nul autre que l’ex petit minet Zac Efron qui tient le haut de l’affiche dans le rôle du serial killer. À ses cotés, on retrouve ensuite Lily Collins dans le rôle de la petite amie éperdument amoureuse, mais aussi Kaya Scodelario (Skins), John Malkovich (Bird box) et Jim Parsons (The big bang theory).
Be ready, le film sera disponible dès le 3 mai sur Netflix !
Inspiré d’une histoire vraie
On dit souvent que la réalité dépasse la fiction. Et dans ce cas, cette citation est plus que pertinente.
Dans les années 70, Ted Bundy (né Theodore Robert Cowell) est beau, jeune, malin et charismatique. Étudiant en droit, il a un avenir glorieux devant lui. Mais c’était sans compter sur ses pulsions meurtrières qui prendront rapidement le pas sur sa petite vie bien rangée.
Entre 1974 (date de sa première victime présumée) et 1978, il aurait manipulé, torturé, violé et tué des dizaines de filles. On lui reproche même des actes nécrophiles. Après avoir clamé son innocence pendant très longtemps, Ted Bundy reconnait finalement une trentaine de victimes (mais le nombre réel demeure inconnu) dans plusieurs états.
Après avoir été incarcéré dans l’Utah, accusé de meurtres au Colorado, s’être enfui deux fois de prison, il a finalement reçu deux sentences à mort et est décédé sur la chaise électrique en 1989.
Mais aujourd’hui, 20 ans après sa mort, celui qui se déclara comme étant « le plus grand fils de pute sans cœur que t’auras jamais rencontré », fascine toujours.
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