À 22 ans, elle est élue Miss Nord-Pas-de-Calais, l’année suivante, elle décroche successivement le titre de Miss France et de Miss Univers. À bientôt 28 ans, Iris Mittenaere continue de briller sous le feu des projecteurs, notamment en devenant égérie des compléments alimentaires pour les cheveux et les ongles Forcapil ®.
A l’occasion d’une interview téléphonique, on a pu poser toutes les questions beauté – mais pas que – qui nous brûlaient les lèvres à l’ancienne Miss.
ELLE : Que représentent vos cheveux pour vous ? Les considérez-vous comme l’un de vos atouts physiques ?
Iris Mittenaere : J’ai toujours eu les cheveux longs, depuis toute petite. Je les ai rarement coupés sauf peut-être il y’a 2 ans quand j’ai osé un carré mais c’est la seule coupe “un peu folle” que j’ai pu faire. J’aime mes cheveux, j’en ai toujours pris soin, je trouve que c’est un véritable atout beauté chez une femme. Grâce à eux, à la façon dont je les coiffe, je peux facilement changer de tête et c’est ça qui est sympathique, c’est cette créativité que j’aime. Un jour, je peux les porter longs “en mode sirène” et le lendemain, faire un chignon bas et donner un côté plus romantique à mon look. Je trouve que les cheveux sont un super accessoire pour changer de tête rapidement, ça fait partie de moi et j’aime bien les utiliser.
ELLE : Comment prenez-vous soin de vos cheveux au quotidien ?
Iris Mittenaere : Je prodigue des soins à mes cheveux tous les jours, notamment en utilisant les cures Forcapil, mais en plus de cela, 1 à 2 fois par mois, j’essaie de trouver le temps de faire un bain d’huile de coco. J’enduis donc ma chevelure d’huile et je laisse poser 2 heures minimum. En général, je fais cela un dimanche quand j’ai du temps pour moi ou en semaine, si je sais que j’ai des mails à traiter et que je vais être face à mon ordinateur sans devoir sortir. Ensuite, je me débarrasse de l’excédent d’huile en faisant un shampoing adapté à mon type de cheveux et je termine toujours mon rituel de beauté avec un masque. Mes cheveux sont assez secs de nature et comme on me les coiffe souvent, ils ont tendance à s’abimer très vite. Je suis intimement convaincue que c’est le combo : cure Forcapil et soins capillaires qui m’aident à garder de beaux cheveux, forts et brillants. Je fais également très attention aux appareils de coiffage que j’utilise. Que ça soit pour lisser ou pour boucler, je les choisis avec une technologique intelligente capable de maitriser la température pour éviter de brûler mes longueurs et de fragiliser mes cheveux.
ELLE : Forcapil et vous, c’est une histoire d’amour qui dure depuis longtemps ?
I.M. : Tout à fait. Cela fait plus de dix ans maintenant que j’entretiens ma chevelure grâce aux produits Forcapil. Si mes souvenirs sont exacts, tout à commencé pendant mes études. Ma sœur, qui avait entrepris un cursus en pharmacie, m’a parlé des compléments alimentaires Forcapil. À cette époque, je perdais pas mal de cheveux à cause du stress et de changements hormonaux liés à mon âge. J’ai rapidement constaté une nette diminution de la casse au brossage. Satisfaite, je n’ai plus jamais arrêté.
ELLE : A quoi ressemblent de beaux cheveux selon vous ?
I.M. :De beaux cheveux, c’est avant tout des cheveux en bonne santé. Des cheveux forts, résistants, doux et brillants. Des cheveux qui accrochent la lumière.
ELLE : Quels sont votre premier et votre dernier geste beauté de la journée ?
I.M. : Me brosser les cheveux. J’ai toujours eu les cheveux longs, ils demandent donc de l’entretien. Chaque matin et chaque soir, je réalise un brossage doux en commençant par les pointes pour éviter de les abîmer et limiter la casse.
ELLE : Quelle est votre pire erreur capillaire ?
I.M. : Quand j’étais au collègue, j’ai fait une frange asymétrique, une frange super effilée, c’était horrible ! Je m’en souviens encore. Plus jamais ! (rires)
ELLE : Vos succès en tant que miss France et miss Univers et votre carrière dans les médias, ont-ils changé votre vision de vous-même ? Votre idée même de ce qu’est une “belle femme” ?
I.M. : Oui, c’est certain. Ces différentes expériences m’ont changée. Au début, j’ai même été fortement chamboulée, car j’étais devenue plus difficile avec mon image mais désormais, j’ai pris du recul et c’est un peu l’inverse. J’ai tellement du faire attention à mon apparence, j’ai tellement pris ça à coeur qu’aujourd’hui, oui bien sûr que ça reste important mais la beauté pour moi ce n’est pas être parfaite, bien au contraire ! Selon moi, pour être une belle femme, il faut être vraie et sincère, être heureuse. Ce n’est plus avoir une bouche et des yeux parfaits, ça a changé. Je suis passée d’un extrême à un autre. Aujourd’hui, je ne recherche plus la perfection, ni chez moi, ni auprès des gens qui m’entourent. J’ai besoin d’autre chose, je cherche du charisme, de la lumière. Finalement, il y a des gens qui nous paraissent tellement lumineux avec et grâce à leurs imperfections et d’autres, au physique d’apparence parfait, qui sont plus ternes.
ELLE : Qu’avez-vous envie de répondre aux jeunes filles qui rêvent d’être “aussi belle” que vous ?
I.M. : Il ne faut surtout pas chercher à ressembler à quelqu’un d’autre parce qu’on possède déjà tout ce qu’il faut pour être la plus belle. Il faut se réjouir d’être en bonne santé, tenter d’être heureuse, et se faire plaisir, c’est ça qui vous rendra la plus belle.
ELLE : Vous êtes engagée auprès d’associations qui viennent en aide aux femmes et aux enfants. Votre notoriété vous a permis de soutenir publiquement ces causes.
I.M. : C’est évidement que ma notoriété m’a servie à mettre ces causes chères à mon coeur en lumière. Avant ma mise en avant médiatique, j’étais déjà engagée dans une association qui construisait des orphelinats mais c’était à petite échelle, avec très peu de moyen et aujourd’hui, grâce à ma notoriété c’est devenu beaucoup plus facile et rapide de faire progresser les projets, je peux plus facilement en parler et mettre en lumière les associations que je défends. Personnellement, je trouve que c’est important quand on a la chance d’avoir les projecteurs sur soi de s’en servir pour aider les autres.
ELLE : Quel est le projet dont vous êtes le plus fière ou qui vous a le plus touché et pourquoi ?
I.M. : Ce dont je suis la plus fière ce sont chacun de mes voyages avec Smile Train comme par exemple, celui effectué à Haïti ou encore celui en Côte d’Ivoire pour me rendre vraiment compte de ce que l’on faisait sur le terrain parce que récolter de l’argent, on le fait toute l’année, mais aller sur place et voir les vies que l’on a changées, les sourires que l’on a créés sur le visage des enfants c’est ce qui est le plus intense. On a d’ailleurs mis en route un gros projet pour 2021 et j’espère que la situation nous permettra de le mener à bien et de continuer les actions.
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