À l’occasion de leur 25è ème anniversaire, Edifico, l’agence d’événementiel bruxelloise, vous invite à un bal masqué enchanteur le 23 novembre. Plongez dans un univers immersif, où magie et originalité se révèlent pour déterer la tradition d’un événement qui avait disparu depuis trop longtemps.
Les bals masqués, ces soirées réputées où les participants se parent de costumes ou de déguisements et portent des masques, étaient très populaires il y a longtemps. Véritables événements, ils étaient souvent organisés pour offrir une soirée digne d’un conte de fées, dans des lieux prestigieux où se retrouvaient les personnalités en vue de l’époque.
L’épopée des bals
Les bals masqués ont connu leur apogée durant la Renaissance, entre le 15ème et le 16ème siècle. Très populaires en Italie, ils ont également pris un véritable essor en Europe, et notamment en France, dans les années qui ont suivi. Ces événements séduisaient la haute société, permettant aux personnalités les plus influentes de se déguiser et de revêtir l’identité d’une autre personne le temps d’une soirée. L’anonymat offert par un costume extravagant faisait des bals masqués des événements empreints de mystère et de fête.
Comme le nom l’indique, le port du masque est obligatoire, et il est normalement interdit de l’enlever, ce qui contribue à l’aspect mystérieux tout au long de la soirée. Parmi les plus célèbres de l’époque figurent les bals de l’Opéra, créés en 1715, qui se tenaient pendant le carnaval de Paris. Au 19ème siècle, l’événement devient un véritable phénomène de société en Europe et en Amérique. L’aristocratie, alors à son apogée, considérait le bal comme un lieu d’échange où élégance, somptueux déguisements et rivalités sociales ne faisaient plus qu’un.
Tout en contribuant à une noble cause, venez profiter d’une soirée mystérieuse, exclusive et unique au coeur de Bruxelles.
Une partie des bénéfices de la soirée sera reversée à l’association Caring Hat, fondée par Fabienne Delvigne, qui soutient les personnes touchées par l’alopécie causée par des maladies graves.
Les billets sont disponibles à partir d’aujourd’hui au prix de 125 euros.
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